
« Fenêtre sur… ton coeur »
C’était le temps du covid,
Et pourtant, sans se soucier,
Ni du temps, ni des règles nouvelles,
Ton corps t’a fait des misères.
Le retour de maux,
Venus de temps anciens,
Ont refait surface soudainement
Limitant ton corps et tes mouvements.
La distance s’est posée
Ou devrais-je dire imposée,
Pour te garder en vie peut être,
Mais te coupant de la flamme du cœur.
Et un jour, cette fenêtre,
Que j’ai eu le droit d’ouvrir
Sur ton petit monde…
Une lueur d’espoir.
Un dernier regard.
Et quel regard…
Celui d’un au revoir,
Que connaissait ton âme,
Mais que tu refusais de voir. »
Xochitl
