« Assise sous un arbre,
J’ai attendu ta venue,
Les feuilles ont poussé,
Puis les arbres se sont dévêtus.
Je pensais avoir attendu
Des secondes ou des minutes,
Mais avec un peu de recul,
Je vois qu’il s’agissait de lustres.
Le temps a filé doucement ,
Mais ça on ne le voit pas,
Tout comme le fait discrètement
Le sable entre nos doigts. »
Armelle Xochitl
(Spéciale dédicace aux grossesses qui n’arrivent pas)